Rue de l’espoir

Liz et Jack Sutherland formaient un couple parfaitement heureux et uni dans leur maison de la rue de l’Espoir, près de San Francisco. Après dix-huit ans de mariage, ils étaient toujours amoureux l’un de l’autre, avaient cinq beaux enfants, et leur cabinet d’avocats ne désemplissait pas. Mais une minute a suffi pour que tout bascule.
Lorsque Jack meurt un matin de Noël, l’univers de Liz s’effondre. Noyée de chagrin, elle doit pourtant affronter la réalité, réconforter les enfants, s’occuper du quotidien. Rapidement, elle retourne travailler, assumant tout, aussi présente au bureau qu’à la maison, à l’écoute de ses filles, apportant son aide aux garçons, essayant de faire son possible pour combler le vide laissé par la mort de Jack, même si pour elle la vie sans son mari est affreusement dure à accepter. Au fil des mois, la maisonnée reprend un rythme plus paisible. Mais un jour, Peter, le fils aîné de Liz, est victime d’un grave accident. Transporté d’urgence à l’hôpital, il est sauvé par Bill Webster, un médecin qui va devenir son ami ainsi que celui de Liz. Cette amitié évolue peu à peu vers un sentiment plus profond et transforme Liz. Elle lui redonne espoir en l’avenir, la fait se sentir à nouveau jeune et légère, sans pour autant lui faire oublier ce qu’elle a perdu. Si les garçons sont ravis de l’arrivée de Bill dans la vie de leur mère, il n’en va pas de même pour les filles. Pour elles, Liz doit rester fidèle à la mémoire de Jack, aucun homme ne doit venir prendre la place de leur père. En s’affichant avec Bill, Liz trahit Jack. Elles le font si bien sentir à l’un comme à l’autre que Bill disparaît. Reviendra-t-il un jour ?…   280 pages.